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25 août 2009

ma haine

Tout le monde rit, mais moi je souris, devant se sang noircit.
Aucun cris dans la nui, je te regarde en silence me violenté.
Avec plaisir me pénétrer, malgré sa avec respect je t'ai supplié,
J'étais seul et juste une gamine mais aujourd'hui regarde comment tu m'as transformé.
Sur ma peau l'essence même de tes erreurs, sur mon corps les traces même de ton insouciance.
Dis toi juste une chose, toute ma vie tu a gâcher.
Dissèque mon corps et tu trouveras de la colère sous ma chair.
Débris de ma vie pouvant laisser séquelle et cicatrice.
Esprit hanté depuis toujours, mes penser noir pourraient me poussée a te briser les couille.
Jouer sans arrêt, même si d'autre te traite d'épave.
Hostile au fond des yeux, ton mépris me fous la haine.
Déguiser sa haine en joie, ne pas dévoiler son vrai visage.
Derrière le masque, un autre masque, interminable mascarade.
Massacre la vérité cacher par une multitude de façade.
Plus personne ne prend le temps de me voir pour ce que je suis.
Vois comme un miroir en moi et tu verras partir un être à la dérive.
Peut être tu verras ton reflet a travers mes délires.
Peut être tu apercevras des larmes dans mes yeux.
Maintenant tu comprendras que je n'ai que la haine pour avancer.
Le cœur en ruine, je me lève certain matin laissent ma joie dans le plumare. Passer mes soirée a me soule de question.
Pour toi et les autres, non je n'ai jamais rien oublié.
Oui, j'en ai souffert, j'ai même crue devenir folle.
Tu n'as pas réfléchi, tu m'as brisée, je n'ai jamais rien oubliée.
Sais tu que tu m'a presque tuée, dire que je te déteste n'es pas bien.
Mes silence sont certainement malsains, mais je ne sais comment m'y prendre en évitant de te réduire en cendre, car mes mains porte l'arme qui te ferons regretter tes geste mal placer.
L'amertume de ces paroles est écœurante, imaginer la scène est une torture, mon apaisement n'est qu'une illusion, la haine coule dans mon sang, je vais en provoquer l'hémorragie, qui se déversera sur toi jusqu'à la dernière goutte.
Tu as joué un à un jeu dangereux avec moi, d'y penser me tue, te faire payer est vital.
La morale n'a pas sa place dans cette histoire, il n'y a aucune exagération dans mes propos, le viol est un acte que le temps n'éteindra jamais.
La haine est ma seul amie et je t'en veut tellement, c'est le seul mot qui me définit, puissant et bien joli, face au douleur que tu ma fait subir.
Je veux te punir, que tu cesses de vivre, que t'arrêtes de rire.
Je veux te voir pleurer, je veux te faire souffrir, je veux te voir payer.
La haine est si présente, que je ne souhaite que ta mort.
Sache que la mort est libératrice, te voir souffrir sera mon plus grand plaisir, ceci est ma justice.

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25 août 2009

premiere fois

Au soir sombre, tes mains caressent ma peau nue.
Ton regard décompose mon corps comme si j'étais la première.
Ton sourire m'invite à venir me blottir dans tes bras.
Je me laisse aller à ce plaisir charmant qui nous emporte.

Je ressens cette envie dont on m'avait tant parlé.
Le désir qui m'habite attise mon émoi.
Mon cœur ne cesse de s'affoler à chacun de tes gestes.
Accompagné de cette douce mélodie.

Lorsque tes mains fébriles partent à ma conquête.
Tout me pousse en avant, vers l'ultime plaisir.
Un frisson vient accompagné mon désir pour toi.
Je ne sens plus mes jambes, elle tremble.

Et c'est toi qui le prends, le guidant de tes mains.
En mon corps accueillant, en mon être.
Et maintenant je sens le monde qui s'éteint.
Il reste seulement ton corps, et le mien.

Dans l'extase infinie de deux qui ne font qu'un.
En cet instant sublime, éternel et lointain.
Nos âmes réunis dans un même destin.
Tes lèvres ne quittèrent à aucun moment les miennes.

Ce soir je retrouverai l'or de tes yeux profond.
Dénudant mon corps et mon âme sans pudeur.
Ce soir je te chuchoterais dans l'oreille.
Ce que mon cœur veut te dire à cet instant.

JE T'AIME

25 août 2009

partir

Assis dans l'ombre
À subir des paroles
À compter les jours
À vivre une tragédie
Fuir, voilà ce que je fais
Haïr, voilà ma seule pensée
Écrire, voilà ma seul sortie
Souffrir, voilà ma destinée
Dans l'obscurité je m'enfouis
Toute la journée on me dit de réagir
Comparé aux autres j'ai l'impression d'être une mal aimé
Parfois j'aimerais savoir ce que je fais sur cette Terre !
Partout où je vais, je pense qu'a sa
Que ce soit dans la rue ou dans mon lit
Où que j'aille, quoi que je fasse, j'ai le blouz
À cause de ça je n'arrive même plus a être moi même !
Je n'ai plus envie de rien a cause d'eux
J'ai beau tenter de réconforter mon coeur
Toutes mes souffrance ne reste qu'enfouis a l'intérieur
Cette vie j'en ai un goût amer !
J'en ai marre de vivre
De dire que je vais bien
Pour moi c'est une fatalité, il vaut mieux partir
Puisque ce calvaire ne va pas finir

25 août 2009

la phobie

Le réveil sonne, 6h30 sa y est
Le cauchemar peut commencer
Comme chaque jour de la semaine
Elle voit les premières lueurs de la journée

Elle se prépare à une dure journée
Répétitive du lundi au vendredi
Elle en pleure parfois
Mais personne ne peut la comprendre

Devant le portail elle ne peut reculer
Un nœud vient remplacer sa gorge
Une peur subite la paralyse
Son cœur palpite de plus en plus vite

Son cœur d'un coup s'emballe
Elle imagine le drame
Cette angoisse de ne pas s'en sortir
C'est ce qui lui arrivera de pire

Le regard des élèves la transperce
Les paroles des profs la blaise
Son comportement change
La haine, la peur et la crainte on tout remplacer

Elle se sous estime petit à petit
Elle aurait préférer rester enfermer
Mais elle doit supporter le regard des gens
Avant d'être conduite vers la mort

Cette ado est pourtant ordinaire
Elle rigole et souris
Elle a des résultats scolaires moyens
Elle lit et écrit

Quand vient la fin de la journée
Elle se sent libre
Respire de nouveaux
Et oublie toute la journée

Elle s'enfuit las bas quand elle peut
Elle s'envole dans le ciel
Où elle est libre, fait ce qu'elle veut
Tout est doux comme le miel

Mais elle retombe net
Le nuage est devenu gris
Le miel c'est transformé en cire
Il est 6h30, la journée recommence

La phobie scolaire, elle y peut rien
Elle fait partit de son quotidien
En elle, elle a pénétrée
Presque impossible de s'en débarrasser

25 août 2009

le passé

tout a changé
et ce malheureux passé
je ne l'ai pas oublié,
juste laisser passé.

car j'ai tourner la page,
je reprend à zéro
afin d'essayer
ce qu'est la vie, la vrai.

merci à vous
vous qui m'avez soutenue,
qui êtes là pour moi,
que je n'oublierai jamais

la noirceur est toujours dans mon coeur,
mais grâce à vous, je rajoute du bonheur,
car, dans ce coeursi longtemp ignoré,
est de nouveau présent le plaisir d'aimer.

ce plaisir si longtemp oublié
est revenu plus fort encore,
j'ai beaucoup à donné
et tous, vous le méritez.

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25 août 2009

arc en ciel

on m'a dit que la vie était moche
qu'elle était hypocrite et sans détour
on m'a dit que j'était une pauv'cloche
de toujours croire en l'amour

juste le noir et le blanc,
enventuellement le gris,
sans couleur, mais pour les enfants
c'est le paradis

mais quand je lève les yeux
je les voix ces belles couleurs,
la vie n'exauce pas mes voeux
mais au moins séches mes larmes

je peux le voir, ce joli arc en ciel,
je peux la voir, cette palette de sentiments
je peux la voir, dans ce ciel pastel,
je m'en fous si c'est juste mon regard d'enfants

25 août 2009

papa

une famille presque détruite par le manque paternel
qui essaye de resurgir dans un monde éphémére
car vivre sans pére c'est comme vivre sans repéres
malgré l'amour d'une mère qui essaye de combler se manque
dans un pays où la justice est notre maître et les lois nos repères
deux parents ces ceux qu'on souhaiter
chaque jour qu'il passe il nous manque un peu plus
on sait qu'il est sur chacun de nos pas
mais on voudrait tant pouvoir être à tes coter
t'entendre rire, t'entendre chanter
te sentir prés de nous, se blottir dans tes bras
et te dire ho combien on t'aime
mais la vie en a decider autrement
et a décidé de t'enlever
de cette famille tout juste fondé
d'un garcon de 16 mois
et d'une fille de 4 mois
maintenant la vie n'est pas pareille
et notre coeur est toujours serrer
une larme coule sur nos joue
on a se gout salé des larmes trop souvent versé
dans notre coeur sombre il ne reste que l'ombre
où s'abandonne la raison
on avait besoin de ta presence
pour percevoir le bonheur
mais tu es parti avant de nous voir grandir

25 août 2009

juste une question

juste une question tu m'a posé
mais cette question m'as boussiller
coupable je me sentais
mais aujourd'hui on ma s'couer

je n'etait qu'une gamine de 5 ans
comme chaque week end nous sommes partis
au bout de la ville se promener
nous nous sommes amuser comme des gamins
il faut dire que l'âge qu'on avait nous le permettait
c'était l'age d'apprentissage
l'age ou on n'a qu'une envie
c'est d'apprendre chaque jour

sur le chemin du retour
cette question tu me l'a poser
et moi toute innocente,
j'ai repondu ce que tu voulais
ce qui ta permis de continuer
ce que tu avait commencer
sa a durer pendant 3 ans
dans le silence, traquer par la peur
le peur de na pas etre crue

mais putain je n'avais que 5 ans
je ne savait ni lire ni ecrire
mais je conaisait deja le gout
je n'avais rien demander
j'ai juste repondu a ta question
ton pardon je n'en veut plus
car comme je dis souvent
le passé on ne peut l'oublier
apres un simple pardon

n'oublie pas sa mon grand
je n'avais que 5 ans
mais aujourd'hui j'en ai 18
ne t'avise pas a m'approcher
car l'enfer tu connaitra
a cause d'une simple question
que tu n'aurais pa du me poser
dans le silence je suis rester
maintenant je le regrette

25 août 2009

un jour peut etre

Un jour peut être on se questionnera sur les guerres, sur tout ces hommes partis en guerre, pour faire régner l'ordre en tuant leur confrère.

Un jour peut être on cherchera des raisons à ces larmes, dont personnes ne sonnera l'alarme et on tentera de cesser ce vacarmes.

Un jour peut être on s'inquiétera de l'avenir de nos descendant, qui repensera à tout ce sang abondant tout en citant les hommes tuer par un défendant.

Un jour peut être on découvrira les vérités cachait par ses mensonges, pour éviter que l'on ne songe à toute ces guerres qui nous ronge.

Un jour peut être on supprimera toute ces frontières qui arrêtera toute ces misère, qui tueras le mot guerre et nous rendras tous confrères

Un jour peut être on changera nos regard sur nos voisins, pour que l'on devienne tous copain et que l'on soit un peu moins crétin.

Un jour peut être on chantera la liberté dans les rues, quand tout aura disparu et que la joie aurai réapparu, car on sera tous secouru.

Un jour peut être on regardera le monde autrement, car pour l'instant on le regarde bizarrement, on la traite durement, un jour se sera l'effondrement.

Un jour peut être on se nommera héros de l'humanité, après avoir laissé passer toute cette haine abrité et que l'on deviendra des êtres civilisé.

Un jour peut être on écrira le mot fraternité sur tout les continents, le jour où tout les hommes voudrons bien s'entendre.

Un jour peut être on rira d'aujourd'hui car tout ce temps perdu ne se rattrape plus, qu'on aura compris dans l'absolu que l'homme évolue.

Un jour peut être notre espoir de vivre dans un monde plus juste et plus humain se réalisera que l'on se reposera et dédramatisera.

Mais aujourd'hui, ne perdons plus de temps, changeons nos habitudes et notre état d'esprit et ce rêve se réaliseras.

25 août 2009

spasmophilie

mon coeur s'emballe et encore je m'étale,
en un seul souffle tout s'écroule,
je deteste cette chose qui me prive,
cette experience de peur,
suffocation, terreur,
de perdre connaissance,
palpitation, pas de chance,
sensation de frisson,
mourir est l'impression,
je sent mon coeur se déchirer,
il cri, il pleur, il a trés peur,
je sent ma gorge se resserer,
elle tremble et se crispe avec horreur,
cette douleur qui me ronge le coeur,
ma peur et mon désir,
aujourd'hui n'en est pire,
sentir, entendre, voir, toucher, respirer,
vivre tout simplement.

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